La levée de l'embargo?
Le Journal de Montréal a publié une chronique de Léo-Paul Lauzon, le 5 janvier 2015, concernant l'embargo mis en place par les États-Unis pour restreindre les échanges de Cuba. M. Lauzon n'a pas eu peur de commencer son article par son opinion tranché sur le sujet: on doit arrêter de penser que les occidentaux sont toujours les gentils, pour examiner les faits réels. C'est donc sous ce «conseil» qu'il nous explique que l'embargo est en parti levée, car certaines mesures ont été bloquées par le Congrès américain (constitué en majorité de républicains). Le chroniqueur critique vivement l'embargo, en disant que ce dernier a tué des milliers de cubains, et que s'il avait réellement été adopté pour favoriser la démocratie, plusieurs autres pays auraient du être mis sous «embargo».
Il semble prendre parti pour Cuba, ou plutôt contre les États-Unis, en soulevant d'autres erreurs qu'ils ont commis envers d'autres pays. Lauzon se dit fier de Cuba, qui a su développer de très bons systèmes d'éducation et de santé malgré tout. Il utilise des mots très péjoratifs, et on peut facilement voir son opinion apparaître à travers les faits: «La fin de leur abject embargo sera bénéfique aux entreprises américaines à qui ce marcher en croissance de 11 millions d'habitants échappait, au profit d'entreprises chinoises, européennes (comme Nestlé, Peugeot,etc.), brésiliennes, russes, etc.»
En résumé, Léo-Paul Lauzon explique que la «fin» de l'embargo à Cuba n'est peut-être pas un choix fait par les États-Unis, mais plutôt une obligation, ou trop d'avantages perdus .
Il semble prendre parti pour Cuba, ou plutôt contre les États-Unis, en soulevant d'autres erreurs qu'ils ont commis envers d'autres pays. Lauzon se dit fier de Cuba, qui a su développer de très bons systèmes d'éducation et de santé malgré tout. Il utilise des mots très péjoratifs, et on peut facilement voir son opinion apparaître à travers les faits: «La fin de leur abject embargo sera bénéfique aux entreprises américaines à qui ce marcher en croissance de 11 millions d'habitants échappait, au profit d'entreprises chinoises, européennes (comme Nestlé, Peugeot,etc.), brésiliennes, russes, etc.»
En résumé, Léo-Paul Lauzon explique que la «fin» de l'embargo à Cuba n'est peut-être pas un choix fait par les États-Unis, mais plutôt une obligation, ou trop d'avantages perdus .
http://www.journaldemontreal.com/2015/01/05/fin-de-linsoutenable-embargo-sur-cuba
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